L’Enseignement de la compréhension orale
objectifs,
supports et démarches
1. Objectifs
de la compréhension orale :
La
compréhension orale est une compétence qui vise à faire acquérir
progressivement à l’apprenant des stratégies d’écoute premièrement et de
compréhension d’énoncés à l’oral deuxièmement. Il ne s’agit pas d’essayer de
tout faire comprendre aux apprenants, qui ont tendance à demander une
définition pour chaque mot. L’objectif est exactement inverse. Il est question
au contraire de former nos auditeurs à devenir plus sûrs d’eux, plus autonomes
progressivement.
Notre apprenant va réinvestir ce qu’il a appris en classe et à l’extérieur, pour faire des hypothèses sur ce qu’il a écouté et compris, comme dans sa langue maternelle. Il a dans son propre système linguistique des stratégies qu’il va tester en français. L’élève va se rendre compte que ses stratégies ne fonctionnent pas tout à fait et les activités de compréhension orale vont l’aider à développer de nouvelles stratégies qui vont lui être utiles dans son apprentissage de la langue.
Notre apprenant sera progressivement capable de repérer des informations, de les hiérarchiser, de prendre des notes, en ayant entendu des voix différentes de celle de l’enseignant, ce qui aidera l’élève à mieux comprendre les français natifs. En effet, on peut leur faire écouter des documents sonores, avec des rythmes, des intonations, des façons de parler et des accents différents.
Notre apprenant va réinvestir ce qu’il a appris en classe et à l’extérieur, pour faire des hypothèses sur ce qu’il a écouté et compris, comme dans sa langue maternelle. Il a dans son propre système linguistique des stratégies qu’il va tester en français. L’élève va se rendre compte que ses stratégies ne fonctionnent pas tout à fait et les activités de compréhension orale vont l’aider à développer de nouvelles stratégies qui vont lui être utiles dans son apprentissage de la langue.
Notre apprenant sera progressivement capable de repérer des informations, de les hiérarchiser, de prendre des notes, en ayant entendu des voix différentes de celle de l’enseignant, ce qui aidera l’élève à mieux comprendre les français natifs. En effet, on peut leur faire écouter des documents sonores, avec des rythmes, des intonations, des façons de parler et des accents différents.
Les
objectifs d’apprentissage sont d’ordre lexicaux et socioculturels, phonétiques,
discursifs, morphosyntaxiques…En effet, les activités de compréhension orale
les aideront à :
découvrir du lexique en situation
découvrir différents registres de langue en situation
découvrir des faits de civilisation
découvrir des accents différents
reconnaître des sons
repérer des mots-clés
comprendre globalement
comprendre en détails
reconnaître des structures grammaticales en contexte
prendre des notes…
2. Les
supports audio
On utilise
en classe des cassettes ou des CD enregistrés, par des natifs ou des
francophones, ou des documents sonores authentiques en français. En règle générale,
toutes les méthodes de français ont un support audio. Ces supports comportent
généralement des documents liés thématiquement aux unités didactiques. Mais
vous avez aussi des manuels de compréhension orale qui sont en vente sur le
marché, traitant d’objectifs spécifiques et accompagnés de cassettes ou de CD
audio (voir sur les sites : www.cle-inter.com , www.fle.hachette-livre.fr et www.didierfle.com ).
On peut aussi fabriquer votre propre matériel didactique, si les objectifs ne correspondent pas à ceux que vous avez envie de travailler avec vos apprenants. Il s ‘agit dans ce cas d’enregistrer à la radio des entretiens, des flashs d’informations, des chansons, des annonces, des publicités…on peut aussi faire ses propres enregistrements en fabriquant un dialogue, sur une situation de la vie réelle parfaitement authentique : dans ce cas, il ne faut pas ralentir le débit de parole, faire attention aux accents… Il est possible ensuite de fabriquer ses propres exercices en fonction de objectifs à travailler.
On peut aussi fabriquer votre propre matériel didactique, si les objectifs ne correspondent pas à ceux que vous avez envie de travailler avec vos apprenants. Il s ‘agit dans ce cas d’enregistrer à la radio des entretiens, des flashs d’informations, des chansons, des annonces, des publicités…on peut aussi faire ses propres enregistrements en fabriquant un dialogue, sur une situation de la vie réelle parfaitement authentique : dans ce cas, il ne faut pas ralentir le débit de parole, faire attention aux accents… Il est possible ensuite de fabriquer ses propres exercices en fonction de objectifs à travailler.
Attention,
tous les critères qui vont suivre déterminent la qualité pédagogique d’un bon
document sonore. Il ne faut pas négliger :
la
qualité du son
la
présence de bruits en arrière fond (il n’en faut pas trop non plus)
la
durée de l’enregistrement (ni trop court ni trop long en fonction du niveau des
apprenants)
le
débit des locuteurs (qui doit être naturel)
Ce sont effectivement des critères à prendre en compte quand on décide de créer ses propres corpus et de les enregistrer.
Ce sont effectivement des critères à prendre en compte quand on décide de créer ses propres corpus et de les enregistrer.
3. La
démarche didactique de la compréhension orale en classe
L’acte
d’écouter n’est guère évident pour des apprenants. Si cet acte est banal en langue
maternelle, ce n’est plus le cas en langue étrangère.
Il est important de leur expliquer que le document sonore n’est pas générateur de stress en soi, qu’il est inutile de l’envisager comme un ennemi.
Il est important de leur expliquer que le document sonore n’est pas générateur de stress en soi, qu’il est inutile de l’envisager comme un ennemi.
Après la
première écoute du document, vous pouvez leur demander de focaliser leur attention sur
les détails de la situation en répondant simplement à des questions du
type :
Qui
parle à qui ? Combien de personnes parlent ?
Ce
sont des hommes, des femmes, des enfants ?
Quel
âge peuvent-ils avoir ?
Où se
passe la situation ? dans la rue, à la terrasse d’un café, en classe, dans
une école…
Est-ce qu’il y a des bruits de fond significatifs (rires, musique, bruits de
rue…) qui aident à comprendre où ils sont ?
De
quoi parle-t-on ?
Quand
la situation se déroule-t-elle ? A quel moment de la journée ou de la
semaine ?
Quel
registre de langue utilise-t-on ?
Ces
questions sont simplement des exemples qui vont aider les apprenants, car lors
de la première écoute ils auront une tâche à accomplir. Il est primordial de ne
jamais leur faire écouter un document sonore sans leur dire exactement ce
qu’ils ont à faire durant cette écoute. Ils doivent être actifs à chaque moment
de l’écoute, pour comprendre dans un premier temps la situation, les intentions
de communication, les relations des personnes entre elles.
Après la première écoute, les apprenants répondent à ces questions et feront des hypothèses grâce à ce qu’ils ont entendu. Il faut que ce soit un travail collectif, et que l’on fasse participer un maximum d’élèves. Chaque information devra ensuite être justifiée lors de la deuxième écoute, grâce à des indices contenus dans les énoncés oraux.
Après la première écoute, les apprenants répondent à ces questions et feront des hypothèses grâce à ce qu’ils ont entendu. Il faut que ce soit un travail collectif, et que l’on fasse participer un maximum d’élèves. Chaque information devra ensuite être justifiée lors de la deuxième écoute, grâce à des indices contenus dans les énoncés oraux.
Lors de la
deuxième écoute, on peut leur demander de vérifier leurs hypothèses et de répondre à
des questions de structuration du discours. Ils vont s’aider des articulateurs
qui s’y trouvent. Les marqueurs sont des indicateurs de structuration et par
exemple quand nos élèves vont repérer le marqueur « d’abord », ils
vont s’attendre à une suite chronologique avec « ensuite » ou
« après »… Cette activité d’écoute active l’aidera à élucider le
sens.
En général, on se doit d’aider les apprenants à repérer ces mots outils, comme les connecteurs logiques (d’une part, d’autre part, ensuite…), les marqueurs chronologiques (d’abord, ensuite, puis, enfin…), les marqueurs d’opposition (mais, malgré, en dépit de, au contraire…), les marqueurs de cause et de conséquence (en effet, étant donné que …)
En général, on se doit d’aider les apprenants à repérer ces mots outils, comme les connecteurs logiques (d’une part, d’autre part, ensuite…), les marqueurs chronologiques (d’abord, ensuite, puis, enfin…), les marqueurs d’opposition (mais, malgré, en dépit de, au contraire…), les marqueurs de cause et de conséquence (en effet, étant donné que …)
La troisième
et dernière écoute permettra de confirmer ou d’infirmer les hypothèses
que les apprenants ont formulées ensemble.
4. Les types
d’exercices en compréhension orale
Vous pouvez
proposer différentes activités de compréhension et des exercices variés :
des
questionnaires à choix multiples (QCM)
des
questionnaires vrai/faux/je ne sais pas
des
tableaux à compléter
des
exercices de classement
des
exercices d’appariement
des
questionnaires à réponses ouvertes et courtes (QROC)
des
questionnaires ouverts
5. Quelques
conseils didactiques en compréhension orale :
En approche
communicative, on commence nécessairement par comprendre avant de produire. La
compréhension orale est probablement la première compétence traitée dès la
leçon zéro.
On peut
utiliser aussi un document iconique comme support accompagnant le document
sonore. Mais attention, celui-ci ne doit en aucun cas traduire en image ce que
dit le dialogue. Son rôle est de faciliter la compréhension, et non de
remplacer l’explication. Elle peut permettre aux apprenants d’identifier les
personnages, les lieux et les aide à émettre des hypothèses concernant le
contenu du dialogue avant la première écoute.
Attention à
ne pas laisser les apprenants regarder la transcription du dialogue, qui se
trouve généralement à la fin du manuel. Seule l’image concernant chacun des
dialogues doit être présentée.
Essayons
autant que faire ce peut de ne pas poser de questions exigeant une réponse trop
longue, car il ne faut pas mélanger les compétences. On serait tenté de
corriger l’expression orale et de demander des reformulations. Privilégions
plutôt les exercices d’appariement, des questionnaires à choix multiples, des
tableaux ou schémas à compléter. Evidemment, On ne doit pas évaluer
l’orthographe ou la syntaxe dans les réponses aux questionnaires, car elles
correspondent à un autre objectif.
Evitons de
même les questions de vocabulaire/traduction. L’exploitation de l’image ne doit
pas servir de prétexte à un recours à la traduction. Si les apprenants n’ont
pas le bagage linguistique élémentaire pour répondre à des questions (pendant
les premiers cours), l’enseignant dans ce cas présente seul et très rapidement
la situation en français (personnages, rapport entre personnages, lieu…)
Evitons
également les questions sans aucun intérêt communicatif et qui amènent aussi à
un processus de traduction implicite.
Il ne faut
pas hésiter à rappeler aux apprenants qu’il s’agit de comprendre globalement.
Ils n’ont pas à tout comprendre parfaitement. On peut rentrer dans le détail
d’un document sonore, mais seulement en fonction du niveau réel des apprenants.
On doit laisser de côté des éléments qui n’ont aucun intérêt pour leur
progression dans leur apprentissage du moment.
Lorsque l’on
pose des questions, il faut essayer de ne jamais trop suivre l’ordre
chronologique
De même, les activités de compréhension orale peuvent être un très bon moyen de commencer un cours de FLE. Elles offrent un support idéal, apportant généralement un thème, un objectif parfois grammatical inséré dans le document sonore, etc…
De même, les activités de compréhension orale peuvent être un très bon moyen de commencer un cours de FLE. Elles offrent un support idéal, apportant généralement un thème, un objectif parfois grammatical inséré dans le document sonore, etc…
Dans le cas
où une réponse d’apprenant est fausse, il est important de ne pas corriger
soi-même. On peut faire réécouter une séquence du dialogue qui aide l’apprenant
à se corriger lui-même. La séquence à faire réécouter doit par contre avoir un
sens complet.
Il est
important de varier la typologie d’exercices en compréhension orale, afin de ne
pas ennuyer les apprenants. Des activités qui se présentent différemment
stimulent leur esprit.
6.
Exemples d’activités de compréhension orale
Les
activités se présentent sous la forme d’exercices variés. Les méthodes de FLE
de dernière génération tentent de se renouveler en proposant des exercices très
différents dans cette compétence.
Voici quelques exemples proposés à des apprenants en Syrie :
Voici quelques exemples proposés à des apprenants en Syrie :
6.1 Exercice
de CO sous forme de tableau : (niveau faux débutant : A2)
Vous
écouterez l’enregistrement deux fois et vous complèterez le tableau où l’on met
dans la colonne de gauche les 5 régions (sud, les Alpes, le centre, le nord et
Paris) et dans la ligne horizontale du haut les items suivants : beau,
mauvais, neige, chaud,pas très beau
Transcription
du document sonore :
Dans l’ouest de la France, à Brest et à Bordeaux, il fait mauvais et la température est de 10°C à Brest et de 11°C à Bordeaux. Dans le sud de la France, à Toulouse et à Marseille, il fait beau, mais il ne fait pas très chaud pour la saison : 12°C à Toulouse et 10°C à Marseille.
Dans les Alpes, à Grenoble, il neige et la température est normale pour la saison : moins 2 degrés. Dans le centre de la France, à Tours, il ne fait pas très beau, mais il ne fait pas très froid : 13°C. A Paris, il fait chaud pour la saison : 13°C et il fait beau. Il fait beau aussi à Rouen où il fait la même température. Dans le nord-est du pays, à Lille, il fait mauvais et froid, 8°C.
Dans l’ouest de la France, à Brest et à Bordeaux, il fait mauvais et la température est de 10°C à Brest et de 11°C à Bordeaux. Dans le sud de la France, à Toulouse et à Marseille, il fait beau, mais il ne fait pas très chaud pour la saison : 12°C à Toulouse et 10°C à Marseille.
Dans les Alpes, à Grenoble, il neige et la température est normale pour la saison : moins 2 degrés. Dans le centre de la France, à Tours, il ne fait pas très beau, mais il ne fait pas très froid : 13°C. A Paris, il fait chaud pour la saison : 13°C et il fait beau. Il fait beau aussi à Rouen où il fait la même température. Dans le nord-est du pays, à Lille, il fait mauvais et froid, 8°C.
6.2 Exercice
de CO sous forme d’exercice de prise de note (niveau élémentaire A2)
Vous
prendrez des notes sur la recette en écrivant tout ce dont vous avez besoin
pour réaliser le plat.
Transcription
du dialogue :
- Jacqueline, ce plat est excellent ! Comment tu le fais ?
Eh bien, tu fais cuire des pâtes (moi, j’en mets une livre pour 4
personnes), dans beaucoup d’eau salée normalement. Dans une poêle, tu fais
revenir du saumon coupé en petits morceaux environ 10 minutes.
Combien de saumon ?
Environ 400 grammes. Tu ajoutes de la crème et un peu de citron
et tu mélanges cette sauce avec les pâtes. C’est très simple et très rapide.
Bon, je vais essayer.
- Jacqueline, ce plat est excellent ! Comment tu le fais ?
6.3 Le
Questionnaire à choix multiples
Le QCM est
probablement celui qui répond mieux aux attentes du professeur de FLE, qui
représente aussi une facilité puisqu’il propose un certain nombre de questions
accompagnés d’items variés. Vous pouvez en télécharger un exemple en cliquant
ici :
6.4
Exploitation pédagogique d’une chanson
Le document
qui va suivre a été choisi pour montrer qu’une bonne écoute est une écoute
active. Des activités d’oral en classe permettent de préparer, de maintenir et
de prolonger cette écoute active qui à son tour permet de donner aux activités
de parole un but communicatif – transmettre des informations, discuter des
interprétations, négocier des hypothèses sur le sens – et un but grammatical –
prendre conscience, dans la situation de communication ouverte par l’étude de
la chanson, de certaines différences intonatives autour d’une structure
grammaticale elle aussi repérée.
Voici le
déroulement pédagogique proposé :
1/
Préparation de l’écoute :
On demande aux apprenants répartis en trois groupes :
de
rechercher, pour le premier, des synonymes et des antonymes de
« tranquillité » (calme, quiétude, cool, paix, paisible, serein,
tranquille ‡ bruyant, agité, remuant, dérangeant, inquiétant…)
de
rechercher, pour le second, des lieux, personnes, objets, qui peuvent
représenter l’idée de la tranquillité (symboles) : les chaussons, une
mère, la mer, le sommeil….
De
s’exprimer, pour le troisième, en répondant et en comparant les réponses à la
question « qu’est-ce que, pour vous, la tranquillité ? »
Les étudiants s’expriment dans leur groupe et vous passez de l’un à l’autre.
Enfin une mise en commun est proposée ; vous ou bien un apprenant recense les contributions au tableau.
On demande aux apprenants répartis en trois groupes :
Les étudiants s’expriment dans leur groupe et vous passez de l’un à l’autre.
Enfin une mise en commun est proposée ; vous ou bien un apprenant recense les contributions au tableau.
2/ Ecoute de
la chanson :
Une première écoute de compréhension globale et non dirigée est proposée ; rapidement quelques réactions diverses sont recueillies.
Une seconde écoute, dirigée et sélective est proposée. Un groupe se concentre sur la musique pour en dire quelque chose
Un autre sur la voix du chanteur (les caractéristiques, les impressions, le ton du message : ironique, neutre, amusé, irrité…)
Un autre sur les répétitions du texte : refrain, début de couplets
Un autre sur les personnages et l’histoire
Une première écoute de compréhension globale et non dirigée est proposée ; rapidement quelques réactions diverses sont recueillies.
Une seconde écoute, dirigée et sélective est proposée. Un groupe se concentre sur la musique pour en dire quelque chose
Un autre sur la voix du chanteur (les caractéristiques, les impressions, le ton du message : ironique, neutre, amusé, irrité…)
Un autre sur les répétitions du texte : refrain, début de couplets
Un autre sur les personnages et l’histoire
3/ Troisième
écoute :
Chaque groupe se voit remis une petite feuille portant une vingtaine de mots ou unités lexicales parmi lesquelles sont glissés des intrus : ainsi, on lira à côté de paix effectivement attesté des intrus possibles comme père ou anglais. De plus, chaque groupe doit recenser les noms d’objets, de lieux et de personnes nommés dans la chanson, et en proposer un classement. L’objectif est de réussir une écoute précise centrée sur la réalité du matériel linguistique utilisé et une négociation de sens sur le classement proposé.
Chaque groupe se voit remis une petite feuille portant une vingtaine de mots ou unités lexicales parmi lesquelles sont glissés des intrus : ainsi, on lira à côté de paix effectivement attesté des intrus possibles comme père ou anglais. De plus, chaque groupe doit recenser les noms d’objets, de lieux et de personnes nommés dans la chanson, et en proposer un classement. L’objectif est de réussir une écoute précise centrée sur la réalité du matériel linguistique utilisé et une négociation de sens sur le classement proposé.
4/ Réécoute
et activité de discussion sur le message de l’auteurLe groupe 1
travaille sur une réponse élaborée sur la question suivante :
« Pourquoi le journal est-il objet de problème entre les deux
personnages ? »
Le groupe 2 doit pouvoir répondre à la question suivante : « A quels autres objets s’oppose le journal ? Qu’est-ce que représentent ces autres objets ? »
Le groupe 3 doit rendre compte des discussions du groupe autour des réponses à cette dernière question « Peut-on aujourd’hui, déjeuner en paix ? »
Le groupe 2 doit pouvoir répondre à la question suivante : « A quels autres objets s’oppose le journal ? Qu’est-ce que représentent ces autres objets ? »
Le groupe 3 doit rendre compte des discussions du groupe autour des réponses à cette dernière question « Peut-on aujourd’hui, déjeuner en paix ? »
5/ Ecoute
finale
On voit dans ce déroulement le lien étroit à maintenir entre les caractéristiques du document et les exercices construits pour aider les apprenants à les comprendre
On voit dans ce déroulement le lien étroit à maintenir entre les caractéristiques du document et les exercices construits pour aider les apprenants à les comprendre
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